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Cuisine contemporaine lumineuse avec îlot central, façades bois et blanches, grandes baies vitrées et espace repas intégré.

Imaginer sa cuisine autrement : quand la créativité rencontre le quotidien

Chez nous, la cuisine concentre plus de moments de vie qu’aucune autre pièce. Entre les petits-déjeuners encore tièdes, les apéros improvisés et les conversations qui s’éternisent autour d’un thé, c’est un espace où l’on cuisine… mais surtout où l’on vit. Je ne compte plus le nombre de fois où Clara est venue me raconter des anecdotes sur ses copines dans la cuisine pendant que je préparais le repas. Alors, lorsqu’il a fallu l’aménager et la repenser, je me suis sentie dépassée : trop de choix, trop de contraintes, trop d’inconnues et d’enjeux.

C’est précisément à cette étape que certains outils ou concepts peuvent aider à clarifier les choses. Parmi eux, Cake Kitchen propose un choix de cuisine sur mesure à 800€ le mètre linéaire, avec 20 finitions de façades, 20 plans de travail et 30 poignées. Et pour simplifier la conception des cuisines ils mettent à disposition un simulateur 3D et un accompagnement par un interlocuteur unique car certaines étapes sont incontournables pour faire les choses correctement. Voici selon moi les 4 plus importantes.

1. Comprendre l’espace

On a tendance à commencer un projet cuisine par les tons, les matières, les inspirations (je ne compte plus les épingles Cuisine dans mon Pinterest  …)  alors que la première étape, c’est souvent de redécouvrir l’espace. Observer comment la lumière circule. Voir où l’on cuisine réellement. Savoir quelles zones sont stratégiques et lesquelles restent inutilisées.

Mesurer sa cuisine au centimètre près — une contrainte qui peut sembler technique — devient en réalité un support créatif. Cela aide à visualiser, à projeter, à comprendre ce que représente réellement un mètre linéaire dans sa pièce. Cette approche, très présente dans le concept Cake Kitchen, permet de poser des contours clairs avant même de penser aux détails.

2. Penser usage avant esthétique

Une cuisine réussie n’est pas seulement jolie : elle est fonctionnelle au quotidien.
On cuisine comment ? Pour combien de personnes ? Où finit-on toujours par poser les courses ? Quel coin devient spontanément le centre névralgique ? Nous par exemple, le cuisiniste nous a soumis l’idée d’un renfoncement spécial pour le coin repas de chats, c’est hyper pratique.

En répondant à ces questions concrètes, on imagine naturellement des implantations plus cohérentes. Les outils comme les simulateurs 3D — qu’ils soient fournis par une marque ou non — deviennent précieux : ils transforment une idée en quelque chose de beaucoup plus concret, dans lequel on peut tester, se projeter et ajuster avant de s’engager.

Cuisine moderne aux tons foncés avec rangements en bois, plan de travail intégré et coin bureau dans un espace multifonction.

3. La créativité comme fil conducteur

Une fois qu’on a l’espace en tête avec les différents éléments, on peut alors penser aux matières, aux détails, et à l’ambiance. Meilleure phase du projet selon moi !
Mat, texturé, lumineux, profond… La cuisine est un terrain de jeu que j’imagine comme un moodboard géant.

Et d’ailleurs les 20 finitions de façades et de plans de travail de chez Cake Kitchen mentionnées plus haut illustrent bien cette diversité : on peut créer une atmosphère douce, contrastée, graphique ou chaleureuse, sans complexifier le projet.

4. Associer la technique à la simplicité

On n’en parle pas assez, mais la logistique compte autant que l’esthétique. Tout le monde n’est pas bricoleur et parfois il est bon de pouvoir compter sur un accompagnement clair, des meubles déjà montés ou des services disponibles. Cela permet de se concentrer sur la partie la plus inspirante du projet.

L’objectif n’est pas de collectionner des contraintes : c’est de créer un espace où l’on se sent bien, où l’on circule facilement, où chaque élément trouve naturellement sa place.

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